Malgré une météorologie peu favorable, le festival de court-métrage de Clermont-Ferrand, et le match de rugby ASM contre La Rochelle, une trentaine de personne était venue découvrir quatre des fils de Jean-Sébatstien Bach (Wilhelm Friedmann, Carl Philipp Emanuel, Johann Christoph Friedrich et Johann Christian) et leurs musiques.
Marie-Virginie Cambriels et Angélika Weitzel Dumoulin
Evelyne Hours à l’orgue, Angélika Weitzel Dumoulin et Marie-Virginie Cambriels aux flûtes traversières, après une présentation de chaque compositeur, ont détaillé et expliqué quelques passages caractéristiques d’une oeuvre de chacun puis interprété intégralement cette dernière.
Un « concert-conférence » original, certes, mais particulièrement intéressant, ces « quatre fils de J.S. Bach » étant notoirement moins connus que leur père.
L’ensemble « Voce Humana »
Tous les musiciens avec ,et, au fond à droite, , Alexis Droy et l’orgue
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Ce concert,organisé par notre association a réuni une centaine de personnes dans le temple pour écouter le chœur féminin de Vichy « Voce Humana » dirigé par Lucie Droy,et accompagné à l’orgue par Alexis Droy, titulaire du Grand Orgue Merklin de la cathédrale de Moulins.
Ces musiciens de talent ont interprété différentes œuvres de Bach, Buxtehude, Willcoks, Saboly,… certaines très connues, d’autres moins, mais toutes célébrant l’Avent et la Nativité. Pour terminer, ils nous ont ravi avec le traditionnel, mais toujours aussi émouvant « Oh douce nuit ».
La chaleur de ce concert contrastait bien avec la froidure et l’humidité de ce dimanche après-midi.
Dimanche 7 Décembre à 16h. au temple de Clermont-Ferrand, rue Marmontel
Concert avec L’ensemble « Voce Humana » de Vichy
Direction de l’ensemble vocal féminin : Lucie Droy, organiste et professeur au conservatoire de Vichy, Orgue : Alexis Droy, titulaire du Grand orgue de la cathédrale de Moulins et professeur d’orgue au conservatoire de Moulins.
Œuvres de Bach, Michaël Haydn, Buxtehude, Marc Antoine Charpentier, Nicolas Saboly, ….
Ces « portes ouvertes », organisées dans le cadre des journées nationales du patrimoine, visaient à « désacraliser » l’orgue et faire comprendre ,succinctement, son fonctionnement, c’est à dire comment se fait la liaison entre une touche du clavier et un tuyau situé à deux mètres sur le côté, comprendre la signification des indications figurant sur les tirants de jeux aux noms parfois étranges, (16′, 8′, 4′, 2′) etc etc, pourquoi un peu moins de 1000 tuyaux de toutes tailles, certains en bois, d’autres en alliage à base d’étain, certains bouchés, d’autres ouverts, ….,qu’elle estla fonction des 3 pédales appelées « tirasses ou accouplement », à quoi sert le pédalier.
La possibilité, par groupes de… 3 personnes, de pénétrer dans le buffet de l’instrument pour voir la répartition de ces tuyaux a été proposée et a suscité la curiosité des personnes présentes.
En dehors de l’instrument l’accompagnement musical des cultes a été précisé et expliqué. Pourquoi certains cantiques sont accompagnés uniquement avec des jeux doux, d’autres avec une registration plus forte, d’autres encore avec le cornet du 2° clavier pour le chant, le bourdon 8′ du premier clavier et le pédalier pour l’accompagnement.
Bref cette « porte ouverte » a permis de découvrir cet instrument particulier mais si attachant.
Une quarantaine de personnes a pu bénéficier de cette présentation, et les questions ont été nombreuses, en particularité sur l’origine de l’orgue dans le temps (3 siècles avant notre ère) , son évolution, son prix, son entretien, les pannes possibles, ….les différents facteurs d’orgue, ….,
A recommencer l’année prochaine.
Vue partielle de l’abrégé du premier clavier de nombreuses questions sur son fonctionnement ont été posées
